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Internet Explorer 5 (VF) sous Mac OS 8.6

iMac trans

Fantastique mais à installer avec précautions !

Comme cette version se faisait attendre ! Surtout pour ceux qui, comme moi, ne pouvaient malheureusement plus utiliser Internet Explorer 4.5 depuis quelques mois... Internet Explorer 5 est finalement sorti le lundi 26 mars, en version anglaise tout d'abord. J'ai immédiatement testé cette version.
Tout allait bien pour commencer, mais après quelques jours d'utilisation, mon expérience m'invite à ne recommander son installation qu'en prenant de grandes précautions. Bien sûr, certains utilisateurs semblent en être très contents. Mais tant d'autres, comme moi, ont eu des raisons de ne pas l'être et le font savoir sur le web... Aller savoir quel camp est majoritaire et dans quel camp vous vous rangerez ?
Essayez cette application en connaissance de cause, sachant que, pour ma part, j'ai fini par connaître des ennuis très variés pouvant lasser quiconque de devoir les résoudre... Que fabrique Microsoft ? Ce logiciel avait tout d'un des meilleurs produits jamais conçus pour Mac pendant deux journées (voir ci-dessous les innovations qu'il abrite)...
Il en était venu à me lâcher bientôt de plus en plus fréquemment et à chaque fois un peu plus violemment. Que l'application quitte inopinément, comme cela pouvait être au début le cas, passait encore, mais que même le solide Outlook Express soit déstabilisé (erreurs type 8 et 10 d'Outlook Express en surfant sur I.E. lorsqu'Outlook Express reçoit des messages à l'arrière plan!), que le système gèle, que le Finder quitte inopinément, que les redémarrage forcés deviennent inévitables n'était pas acceptable de la part d'une application qui par ailleurs offrait des fonctions propres à faciliter la vie du grand public.

Mais je crois avoir fini par trouver une solution radicale (je touche du bois mais tout fonctionne maintenant à la perfection). Essayez donc cette application mais en prenant donc le soin d'effectuer les opérations suivantes avant de la lancer pour la première fois ! Sinon, je vous promets les pires ennuis. Que Microsoft n'ait pas prix la peine de donner ces recommandations importantes ni de créer la moindre application permettant d'effectuer les opérations que je vais maintenant décrire est bien dommage... Car il sembleraient qu'elles seules aient quelque chance de donner à Internet Explorer 5 une certaine stabilité :

Opérations indispensables avant de lancer d'Internet Explorer 5 pour la première fois

  1. assurez-vous qu'aucune application n'est active et que vous n'êtes pas connecté à Internet;

  2. sauvegardez tous vos favoris (faites une copie des fichiers "Favoris.html" et/ou "Favorites.html" trouvés grâce à Sherlock) si vous utilisiez précédemment une autre version de ce même logiciel;

  3. jetez à la corbeille tous les dossiers et extensions Microsoft trouvés dans le "Dossier Système" à l'exception des extensions et dossiers propres à Microsoft Office ("OLE"), si ce logiciel était installé sur votre ordinateur... Leur nom commence soit par "MS" soit par "Microsoft", à vous de les débusquer grâce à Sherlock pour être sûr de ne pas en oublier;

  4. jetez à la corbeille tous les dossiers situés dans le Dossier Système dont le nom contient l'expression "Explorer" (trouvés grâce à Sherlock, là encore);

  5. lancez l'application "Microsoft Internet First Run" mais pas n'importe laquelle! Uniquement celle située dans le dossier "Microsoft Internet Self-Repair" du dossier "Internet Explorer 5 Folder": ne lancez que celle-ci et pas une autre. (vous aviez bien évidemment copié préalablement le dossier "Internet Explorer 5 Folder" sur votre disque dur...);

  6. redémarrez;

  7. lancez "Internet Explorer 5"

  8. quittez "Internet Explorer 5": après avoir demandé à l'application de quitter, vous pourrez avoir l'impression que votre iMac vient de planter! Ne faites rien (ne forcez surtout pas I.E. à quitter! Ne forcez pas, non plus, le démarrage de votre machine) car le gèle de la machine n'est qu'une impression! Attendez le temps qu'il faudra (plus de 15 secondes sur l'iMac 350 utilisé !) et l'application finira vraisemblablement par parvenir à quitter, laissant place au finder, rendant à nouveau votre iMac pleinement opérationnel. Etrange comportement ! Il semblerait que ce phénomène ne se produise que lors du tout premier lancement d'Internet Explorer 5. Que fabrique-t-il donc pendant tout ce temps ? Mystère !

Toutes ces étapes seront à suivre scrupuleusement à chaque fois que vous devrez réinstaller ce logiciel. J'espère que vous n'en éprouverez pas trop souvent le besoin... Malgré quelques bugs importants propres à le déstabiliser.

Un bug majeur intervient lors de la consultation de certaines pages utilisant le langage Java. Aucun utilisateur d'Internet Explorer 5 ne sera épargné. L'ouverture de certaines de pages faisant appel au langage Java peut en effet provoquer la fermeture instantanée de l'application, voire son gèle, voire le gèle de l'ensemble du système. Et l'installation de la dernière version du logiciel d'interprétation du langage Java conçu par Apple, AppleMRJ 2.2.x, ne changera rien. Après vérification, Apple a pu conclure que seul Microsoft était à incriminer, le problème ne provenant pas d'Apple MRJ (dont même la dernière version fonctionne parfaitement avec la version précédente d'Internet Explorer). D'ailleurs, un ami pécéiste (oui, j'en ai un... un seul) à qui je racontai cette histoire m'avoua avoir depuis toujours les mêmes ennuis avec la version d'Internet Explorer 5 pour PC, application sortie pourtant depuis bien longtemps, soudée à son Windows 98... Finalement, pour Microsoft, ces ennuis avec la version Mac seraient surtout relatifs à des erreurs de programmation en langage Java, les concepteurs des sites posant problèmes (et non des moindres : sites de grandes banques et compagnies aériennes américaines y compris...) n'ayant pas scrupuleusement respecté les règles du langage Java, et la version 5 d'Internet Explorer étant devenue intransigeante, interprétant méticuleusement le code Java reçu, toute consultation d'un site affichant un code imparfait est susceptible de conduire le navigateur à sa perte. Et il semblerait que l'argument de Microsoft soit recevable : après vérification du code Java, nombre de concepteurs ont pu relever des erreurs de syntaxes qui, une fois corrigées, permirent aux utilisateurs d'Internet Explorer 5 d'utiliser leurs sites normalement.

Des internautes font aussi état de problèmes que je n'ai, pour ma part, jamais rencontrés :

  • de problèmes lors de la consultation de page employant javascript.
  • lenteurs lors de l'affichage de certaines pages webs
  • d'erreurs dans l'affichage de certains cadres et images
  • d'un mauvais rendu typographique
  • d'une icompatibilité certaine avec "FontMenu" rendant l'ouverture d'I.E. 5 impossible (seule solution : configurer FontMenu pour le rendre inopérant dans le cadre de l'application I.E. 5)
  • etc... etc...

Pour en savoir plus

reportez-vous à l'imposant forum (les problèmes semblent nombreux...mais je les juge surtout liés, dans leur majorité, à une mauvaise installation de départ...) consacré à cette application sur le site Mac Fix It.

Vous pouvez aussi consulter les messages trouvées sur le newsgroup concernant les versions mac d'Internet Explorer :

microsoft.public.inetexplorer.mac

Toute la complexité de l'installation est d'autant plus désolante que, par ailleurs, ce logiciel a tout pour lui !

Si l'installation d'Internet Explorer 5 était correctement effectuée, voici les petites merveilles que vous pourriez apprécier sans risque :

une nouvelle interface spectaculaire, personnalisable (choix de la couleur dominante du logiciel, choix des icônes à installer, etc...).

La gestion des "favoris" ("signets" dans Netscape) atteint des sommets : s'il est possible de placer des dossiers de favoris (chose impossible dans Netscape...) sur la barre des favoris (cette barre personnalisable placée sur la fenêtre du navigateur et vous permettant d'accéder en un clic à vos sites préférés) depuis la version 4.5 , il est maintenant possible, en restant cliqué sur ces dossiers, de découvrir leur contenu (via menu déroulant affichant ce contenu) et de sélectionner aussitôt le favori de son choix : oui, sans devoir ouvrir une fenêtre affichant lecontenu d'un de ces dossiers pour pouvoir enfin sélectionner un favori qu'il abritait, comme c'était le cas auparavant !

Il est aussi devenu concevable d'installer une quantité astronomique de favoris ou de dossiers de favoris sur cette barre des favoris: ceux qui n'auront pas la place d'être affichés seront immédiatement accessibles via un menu déroulant prêt à s'ouvrir d'un simple clic prolongé sur l'extrémité droite de la barre des favoris.

Remarquable, encore, l'ajout d'un bouton permettant de faire disparaître l'ensemble des barres et des onglets verticaux du navigateur pour permettre en un clin d'oeil la visualisation d'une page sur toute la hauteur et la largeur de la fenêtre.

Autre nouveauté importante, l'adjonction d'un onglet "scrapbook" ("album", en français) permettant de stocker en un seul clic des pages entières consultées sur le web ! L'intérêt de la chose ? J'y vois surtout leformidable moyen de nous faire économiser des quantités impressionnantes de cartouches d'encre et de feuilles de papier. Ce qui est la moindre des choses à l'heure du numérique. En effet, pourquoi sommes-nous généralement tentés d'imprimer des pages trouvés sur le web? Parce que, pressés, nous n'avons pas toujours le temps d'apprécier vraiment le contenu de certaines pages, ou parce que nous voulons en garder la trace avant qu'elles ne soient modifiées (un article trouvé sur le site web d'un quotidien, par exemple, aura certainement disparu du site dès le lendemain). Vous me direz qu'il y a toujours moyen d'enregistrer le contenu d'une page web sur son disque dur. C'est vrai mais cette opération, bien que simple, est infiniment plus laborieuse que celle permettant l'enregistrement d'une page dans l'"album" d'Internet Explorer 5. Trop laborieuse pour pouvoir passer dans les moeurs de la plupart des internautes: sélectionner "Enregistrer sous", choisir le format d'enregistrement (source, texte, etc...), rebaptiser chaque fichier qui sera enregistré (afin de préciser clairement son contenu), choisir l'endroit où enregistrer chaque fichier... vous admettrez que l'opération pourra sembler très fastidieuse à la longue... Sans oublier qu'il faudra retrouver l'emplacement et se souvenir du contenu et du nom de chaque fichier que vous chercherez à consulter par la suite... Heureusement, l'"album" d'Internet Explorer 5 rend ces opérations déplacées.

Mais l'onglet "Search" ("Recherche", en français), l'air de rien, semble cacher à lui seul une véritable révolution. Il permet de lancer une recherche sur Internet directement à partir du navigateur : rien de bien nouveau, en apparence. Le nombre de moteurs de recherche accessibles est peut-être aussi assez limité mais quelle souplesse d'utilisation et quels résultats qu'une utilisation immodérée de Sherlock avait peut-être pu nous faire oublier !!! En effet, Sherlock permet peut-être de contacter un nombre ahurrissant de moteurs de recherche mais, détail important, ses modules ne permettent le renvoi que d'une dizaine ou vingtaine (selon les modules) de réponses par moteur. Autant dire que chercher avec Sherlock de nombreux détails sur un même sujet, risque fort de ne pas donner de résultats concluants. Certainement pas à partir des plus gros moteurs de recherche en tous cas : leurs 15 ou 20 premières réponses sauraient difficilement représenter la somme astronomique de références qu'ils ont pu emmagasiner à un sujet.
Et d'autant moins que certains de ces moteurs semblent avoir la sale manie de faire passer au premier rang certains sites qui, s'ils répondent en partie aux critères de votre recherche, y répondent en réalité beaucoup plus mal que bien d'autres qui, étrangement, se voient relégués à des places dont un Sherlock n'a que faire (cela même si ces derniers sont mieux préparés pour plaire aux "robots" - logiciels chargés d'évaluer le contenu d'un site en fonction de certains critères - que les premiers).

Certes, certains moteurs proposent à qui veut faire référencer son site web de choisir entre un référencement gratuit et un référencement payant... Mais de là à imaginer qu'un référencement payant assure une meilleure place, dans l'ordre des réponses renvoyés par ces moteurs, qu'un référencement gratuit... Ou une autre affaire de gros sous ? Non, ou ces moteurs ne seraient plus des moteurs de recherche mais avant tout de purs supports publicitaires dont un Sherlock, en n'affichant que des premiers rangs, décuplerait idéalement l'impact. Alors Apple, tout naturellement, mériterait d'empocher sa part. Non, Apple et certains moteurs ne pourraient s'être mis d'accord pour tomber aussi bas : dans une association purement mercantile se moquant bien des attentes des internautes, les envoyant ballader sur des pages publicitaires plutôt que sur celles répondant précisément aux critères de leurs recherches... Apple ne serait pas capable d'une telle vulgarité. Mais, j'y pense, Sherlock n'affiche-t-il pas depuis le départ d'énormes bandeaux publicitaires sans le moindre complexe ?...


Quoi qu'il en soit, l'arrivée de cette dernière mouture d'Internet Explorer avec l'intégration exemplaire (là encore, la conception de l'interface est une petite merveille : Microsoft est parvenue à faire tenir les réponses renvoyées par chaque moteur sur un espace n'excédant pas le tiers de l'écran de votre iMac en résolution 800 X 600 pixels : tous les résultats s'affichent très lisiblement sous forme de simples liens numérotés et superposés; un passage de souris sur chaque lien donne naissance à une bulle affichant le résumé de la page correspondant au lien... Bluffant ! Et je ne dis pas tout...) de cette fonction de recherche sur le web totalement indépendante de Sherlock est comme un cadeau empoisonné fait à Apple. Un cadeau apte à dévaloriser ce Sherlock que Steve Jobs présentait comme un véritable bijou justifiant, à lui seul, l'achat des derniers systèmes d'exploitation conçus par Apple depuis Mac OS 8.5. Oui, très vite, Internet Explorer 5, s'il offrait la possibilité de greffer les moteurs de recherche de son choix dans sa fonction "Search", finirait par reléguer Sherlock aux bonnes vieilles tâches jadis effectuées par son ancêtre, le tableau de bord "Recherche de fichiers", cet outil fait pour fouiller sur les disques mais non sur le web. Pourquoi de telles prévisions ?

  1. Parce que l'interface de la fonction de recherche d'Internet Explorer 5 est plus intuitive et conviviale (plus "mac" dirais-je) que celle d'un Sherlock (version 2 comprise);
  2. parce qu'Internet Explorer est un navigateur web: il est naturel et rapide d'effectuer des recherches sur le web directement à partir d'un navigateur web. Surtout quand l'interface du navigateur est si bien pensée, permettant simultanément l'affichage, dans la même fenêtre, des résultats renvoyés par les moteurs de recherche et des pages consultées. Oui, un clic sur le lien renvoyé par le moteur de recherche dans la partie gauche de la fenêtre permettant de visualiser aussitôt la page dans la partie droite de cette même fenêtre. Rien de plus naturel ! Il l'est beaucoup moins de devoir prendre la peine de passer par un quelconque intermédiaire.
  3. parce qu'Internet Explorer est soucieux de nous renvoyer TOUTES les réponses données par des moteurs de recherche riches en données, il sait, bien mieux que Sherlock, répondre à la plupart des requêtes et aiguiser au passage les curiosités: "chercheurs" et "surfeurs" y trouveront chacun leur compte, bien plus qu'au travers des résultats extrêmement limités et souvent bien étranges donnés par un Sherlock (au fait: quelqu'un sait-il en fonction de quels critères Sherlock détermine le degré de "pertinence" des résultats renvoyés par les moteurs de recherche ? ).
    Les internautes pourront apprécier cette ouverture sur le web, cette transparence invitant à découvrir aussi de ces petites pages web extrêmement bien faites mais souvent mal classées par les moteurs simplement parce qu'elles n'ont pas été conçues pour séduire leurs "robots". En disant non à Sherlock (sinon une fonction permettant d'appeler Sherlock pour effectuer les recherches sur le web n'aurait-elle pas été tout simplement greffée à Internet Explorer 5 ?), Microsoft nous en dévoile preuves à l'appui la pauvreté (en matière de recherche sur le web, bien sûr...) tout en soulignant le caractère incroyablement grossier et opaque de l'outil de recherche d'Apple, opaque au point de pouvoir sembler tendancieux...
  4. à la différence de Sherlock encore, l'espace réduit mais suffisant réservé à l'affichage des résultats d'une recherche se prête vraiment très mal à la diffusion de publicités. Une démarche volontaire de Microsoft mettant à mal la grossière (oui, là encore, Apple ne fait décidément pas dans la dentelle!) installation publicitaire d'Apple dans la fenêtre de Sherlock. Un plus aux yeux des internautes... voire une preuve de respect.
  5. Pour finir, l'absurde, constant et insupportable message "une erreur réseau est survenue" reste une exclusivité de Sherlock.

Détail amusant: seul le moteur de recherche de Microsoft ("MSN Search") se montre incapable d'afficher correctement les réponses qu'il renvoie dans la fenêtre "Search" d'Internet Explorer 5! Entre autres problèmes: impossible d'accéder à à l'ensemble des réponses renvoyés par ce moteur...

La fonction d'"abonnement" (toujours étrangère à Netscape...) permettant :

  • de vérifier si des sites ont, ou non, été modifiés depuis votre dernière visite (cela très rapidement et sans qu'il vous soit nécessaire de prendre la peine de vous connecter sur ces sites)
  • le téléchargement automatique (fréquence paramétrable) de pages ou de sites entiers en vue d'une consultation hors connexion

est toujours des plus efficaces et ne semble pas avoir été modifiée.

Quant à la qualité de la fonction de prévisualistation avant impression... admirable !

Mais je vous laisse découvrir les autres étonnantes fonctions de ce logiciel.

En conclusion:

D'une approche très intuitive, aussi convivial que puissant lorsqu'il veut bien fonctionner (lorsqu'il est bien installé, apparamment...), Internet Explorer 5 est sans aucun doute, avec Outlook Express 5 (version 5.0.2 sortie simultanément) l'un des meilleurs produits conçus pour la plate-forme mac depuis bien longtemps. A voir la richesse de ce logiciel et sa simplicité d'utilisation Microsoft paraît même avoir si bien compris la grandeur de "l'esprit mac" des origines qu'elle semble en position, à travers la conception globale de ce seul logiciel, de pouvoir la rappeler à... Apple. (Rien d'étonnant à cela finalement, car qui estime sans modération et connaît le mieux Apple depuis sa création ? Microsoft, bien sûr ! Vous en doutez ? Regardez Windows courir après Mac OS et vous pourrez vous faire une idée de la fascination qu'Apple peut exercer sur Microsoft) Mais Microsoft paraît aussi s'être laissé emportée par cet esprit au point d'oublier une donnée bien terre à terre mais incontournable : une application ne se doit pas uniquement d'être des plus simples, des plus agréables à utiliser, elle doit aussi savoir montrer fiable en toutes circonstances et, pour commencer, facile à installer.

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... Test sous Mac OS 9.0.4 VF de la version US

Je n'ai pas rencontré le moindre problème d'installation sous Mac OS 9.0.4.

Pas le moindre plantage et, qui plus est, Internet Explorer se montre DEUX FOIS PLUS RAPIDE QUE SOUS MAC OS 8.6 !

La mémoire perdue après utilisation de l'application sous Mac OS 8.6 est même restituée sous Mac OS 9 après avoir quitté l'application. Mac OS 9 gère mieux la mémoire que Mac OS 8.6, il est vrai, mais il n'empêche que le développement d' Internet Explorer semble surtout avoir été entièrement optimisé pour Mac OS 9...

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