Installer XFree86 sous Mac OS XEléments nécessaires (par ordre d'apparition)
NB. Les versions 1.0.8a de Fink et 4.0.2 de XFree86 sont nécessaires. Des versions plus récentes impliqueraient d'autres manipulations que celles préconisées sur cette page. Une fois l'installation réalisée vous pourrez toujours envisager de mettre à jour ces deux logiciels. Pour en savoir plus...J'ai conçu une page de liens qui devraient vous permettre de trouver une réponse aux nombreuses questions que vous pourriez vous poser. Questions sur le fonctionnement de la plupart des logiciels et sur les technologies utilisés. Si une commande refusait de fonctionnerLe Terminal pourrait, dans certaines circonstances, renvoyer un message d'erreur. Ne baissez pas les bras pour autant. Souvent un banal problème d'autorisations pourra être à l'origine d'une installation impossible. Quelques remèdes sont donnés sur le site. Préparation de l'installation sous Mac OS X1. Installez les Developer Tools à partir du CD fourni avec Mac OS XL'installation des Developer Tools donne en partie lieu à la création du dossier "Developer" sur votre disque dur. Son contenu n'est pas nécessaire à la suite des opérations. Nous vous recommandons cependant de lire l'article qui lui est consacré avant de procéder à son élimination. 2. Activer le compte "root" sous Mac OS Xle "root" est le grand patron de l'ordinateur. Il peut accéder à des zones auxquelles l'administrateur standard d'une machine n'a même pas accès (au niveau "root", ou "racine" du répertoire).
Remarque : utiliser NetInfo serait plus rapide. Mais je ne recommanderai pas à des inconnus d'utiliser NetInfo. Trop dangereux entre les mains d'un root qui n'en connaîtrait pas suffisamment les ficelles, et pousse-au-crime avec son interface graphique invitant à toucher à tout. Le Terminal permet aussi d'activer le compte root. Nous détaillerons la méthode une autre fois. 3. Utiliser le compte rootrédémarrer, inscrire "root" dans la case login puis le mot de passe correspondant dans la deuxième case. Attention : en entrant comme root, ou en activant, comme nous le verrons plus tard, les autorisations de root à l'intérieur du Terminal, vous devenez le dieu de votre machine. Ayant tous les droits vous devenez responsable du pire comme du meilleur. Evitez, autant que possible, d'utiliser ce compte. Soyez conscient que Mac OS X n'est pas, lorsque vous être root, un de ces vieux Mac OS qui vous permettait de faire sans risque à peu près n'importe quoi. Ne touchez pas à tout, pour voir, comme vous l'auriez fait sous une version précédente du système ou les résultats pourraient être catastrophiques. 4. Dévoiler les fichiers invisibles grâce à l'application TinkerTool
Remarque : Seul l'utilisateur "root" verra apparaître les fichiers jadis invisibles. Un autre utilisateur pourra très bien effectuer la même opération pour obtenir le même résultat. 5. Utiliser TextEdit pour créer ou modifier un fichier invisiblePrécautions à prendre :
Manipulation : Créer un nouveau fichier avec TextEdit en inscrivant simplement les deux lignes suivantes (vous pouvez les copier sur cette page et les coller directement dans TextEdit : setenv PATH "${PATH}:/usr/X11R6/bin"
Enregistrer le fichier au format texte directement dans le dossier "root" (pas dans un de ses sous dossiers) en lui donnant pour nom (sans oublier le point) : .cshrc
Exception : si par miracle un fichier portant ce nom se trouvait déjà installé dans le dossier "root", il suffirait de l'ouvrir (en lâchant son icône sur celle de TextEdit, par exemple), d'ajouter les deux lignes ("setenv" etc...) à l'intérieur du fichier (sous celles éventuellement déjà inscrites dans ce fichier) et d'enregistrer les modifications. quitter TextEdit 6. Utiliser le Terminal de Mac OS X pour assurer les compilationsNB. Avant d'aller plus loin, nous recommandons vivement à tous ceux qui n'auraient pas idée du fonctionnement du Terminal de bien vouloir prendre connaissance de rudiments le concernant. Ces notions de base répondront à la plupart des questions que vous pourriez vous poser en découvrant la suite de cet article. Depuis Mac OS X 10.0, les librairies de compilation ne portent plus le même nom que celles de Darwin 1.2. Mieux vaut créer l'équivalent d'un alias pour qu'un programme compatible Darwin 1.2 les cherchant sous tel nom et à tel endroit parvienne à en faire usage malgré ce changement. ln -s /usr/bin/gcc /usr/bin/cc
Suite de l'installation de XFree86 : Téléchargement des binaires
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