Améliorer les menus contextuels de son iMac avec FinderPop

Un "must", tant et si bien qu'il semble avoir été conçu par Apple. Après avoir installé ce tableau de bord, (pour en savoir plus sur l'installation d'un tableau de bord...) vous ne pourrez plus vous en passer ! Et vous n'ouvrirez peut-être plus jamais, dans toute votre future existence de femme ou d'homme à machine, le moindre dossier pour lancer une application ou ouvrir un document ! Même chose pour la barre des menus! Vous n'aurez presque plus à reproduire la longue et pénible ascension, avec votre souris, jusqu'au sommet de votre écran (épuisant, n'est-ce pas?) pour accéder à bon nombre de menus si utiles. En somme, Finder Pop vous changera vraiment la vie.

Comment ? En enrichissant les menus contextuels d'Apple de nouvelles fonctions et en leur apportant plus de souplesse.

Oui, vous savez, les "menus contextuels", ces petits menus qui apparaissent au bout de la pointe du curseur de votre souris lorsque vous enfoncez la touche Ctrl ("contrôle") de votre clavier tout en cliquant sur sur un fichier ou sur un dossier.

Eh bien, dès que le tableau de bord "Finder Pop" aura été installé, vous n'aurez, pour commencer, déjà plus besoin d'appuyer sur la moindre touche pour faire apparaître un menu contextuel. Un simple clic prolongé sur un document, sur un dossier ou sur le bureau révélera un menu contextuel.

Je vous laisse le plaisir de découvrir les articles que Finder Pop ajoute aux menus contextuels d'Apple. Vous ne serez pas déçu par leurs fonctions !

Mais certains d'entre vous me reprocheront peut-être de rester trop mystérieux... Mais c'est uniquement parce que Finder Pop ne recèle que de bonnes surprises que n'importe qui sera techniquement et intellectuellement capable de découvrir seul et sans le moindre danger !

Bon, spécialement pour ceux se méfieraient encore de ce que d'autres pourraient entendre par "bonne surprise", j'accepte de dévoiler précisément encore un des nombreux effets de Finder Pop :

si vous cliquez de manière prolongée sur un dossier (remarque : la durée d'un clic maintenu donnant lieu à l'ouverture d'un menu déroulant se règle dans le tableau de bord "FinderPop"), le menu contextuel s'affichera en présentant la liste de tous les dossiers et fichiers installés dans le dossier. Sélectionner un fichier dans ce menu déroulant puis relâcher le bouton de la souris aura pour effet de déclencher l'ouverture de ce fichier (vous n'aurez alors pas eu besoin d'ouvrir ni de refermer la moindre fenêtre !). Sélectionner un dossier dans ce menu déroulant donnera lieu à l'ouverture d'un nouveau menu déroulant affichant le contenu de ce dernier dossier (quel meilleur moyen de naviguer, sans avoir besoin d'ouvrir ni de refermer la moindre fenêtre !).

Maintenant, vous êtes convaincu(e) ? Et vous n'avez encore rien vu ! Essayez donc de cliquer sur un dossier mais, cette fois, en ayant pris soin d'enfoncer préalablement la touche Ctrl. Admirez la différence et les autres possibilités qu'elle vous offre ! Et lancez ensuite une application (peu importe laquelle) puis sélectionnez l'article "Ouvrir" dans son menu "Fichier". Il apparaît alors une zone de dialogue vous invitant à trouver, sur votre disque dur, le fichiez que vous voudriez ouvrir : rien de plus normal... Mais que se passe-t-il donc si vous cliquez de manière prolongée sur l'icône d'un des dossiers apparaissant dans la liste ?... Et quel serait l'effet sur un fichier compressé avec StuffIt (comme la plupart des fichiers que vous avez pu télécharger sur Internet, fichier dont le nom se termine par le suffixe ".sit") ? Mais j'en dis certainement trop... alors téléchargez Finder Pop et ne me remerciez pas ensuite. Acclamez plutôt son auteur !

ajoutez CMTools à FinderPop ! Votre iMac verra des menus contextuels partout

Après téléchargement et décompression du fichier téléchargé, l'installation de CMTools se résume à placer deux éléments dans le dossier "Éléments menus contextuels" :

1) le dossier "CMTools configuration", contenant différents dossiers

2) l'élément de menus contextuels "CMTools"

Le premier doit être placé directement dans le dossier "Éléments menus contextuels" situé dans le "Dossier Système".

Le second doit avoir été installé dans ce dossier par le système : après avoir été lâché sur l'icône du Dossier Système. (si vous voulez plus de détails sur cette dernière procédure d'installation...)

Configuration de CMTools

Nous vous proposons ici de découvrir certaines fonctions de CMTools, pas à pas, au cours de sa configuration.

Ouvrez le "Dossier Système" puis le dossier "Éléments menus contextuels" puis le dossier "CMTools configuration".

Là, vous trouverez les dossiers suivants, dossiers dont vous pourrez voir les nom et le contenu figurer dans vos menus contextuels, après installation de CMTools :

1) Déplacer vers ***

Utilité : permet de déplacer n'importe quel élément, d'un clic sur cet élément, directement dans le dossier de votre choix !

Vous placerez surtout dans le dossier "Déplacez vers" les alias de dossiers dans lesquels vous serez amenés à ranger très régulièrement des éléments.

D'un clic, vous pourrez ensuite ranger n'importe quel fichier situé n'importe où sur votre disque dur (même sur une de ses partitions), immédiatement dans un des dossiers dont vous avez pu créer ici un alias. La chose vous évitera de devoir ouvrir quantité de dossiers (ou/et de volumes) pour retrouver et accéder à ces dossiers très utilisés dans lesquels vous souhaiteriez à nouveau ranger un élément. D'autant plus si ses dossiers se trouvent être, en réalité, des sous-sous-sous-...-dossiers !

J'ai, par exemple , placé des alias de mes dossiers "Correspondance" ainsi que des dossiers "En cours" (travaux en cours), "A voir" (pour les fichiers à étudier), "Projets complets" (pour ranger les projets achevés...), "Site i&Mac" (pour y placer instantanément tous les fichiers que je souhaite intégrer dans le présent site), etc... Mais la copie d'écran suivante vous en dira bien plus long :

un sous-menu s'est ouvert (partie gauche de la copie d'écran) lorsque le curseur a sélectionné "Déplacer vers"; dans ce sous-menu est apparue la liste de tous les dossiers dont j'ai pu créer un alias dans le dossier "Déplacer vers". Il me suffit maintenant de sélectionner dans cette liste le dossier vers lequel je souhaite déplacer le fichier dont je viens d'ouvrir le menu contextuel. Oui, CMTools est aussi pratique et simple à utiliser que cela.

2) Lanceur ***

Utilité : pour pouvoir ouvrir vos documents, dossiers ou applications préférés d'un clic prolongé sur un espace vide de votre bureau !

Placez dans le dossier "Lanceur" les alias de :

- toutes les applications que vous utilisez le plus souvent;

- tous les dossiers que vous aurez l'occasion d'ouvrir souvent.

Certains éléments que vous avez pu installer dans le dossier "Déplacer vers" peuvent aussi figurer dans ce dossier car n'oubliez pas que "Déplacer vers" ne vous permettra pas d'ouvrir les dossiers dont ils abrite les alias. Il vous permettra de ranger automatiquement, sans ouvrir la moindre fenêtre. Ici, dans le "Lanceur", il s'agit d'ouvrir les fenêtres des dossiers...

Pour ma part, je n'ai installé ici que les dossiers "En-tête" (ne contenant que mes différents modèles de papier à en-tête), "En cours", "A voir", "A faire".

3) Ouverture avec ***

Utilité : permet d'ouvrir un fichier d'un clic, depuis son menu contextuel, avec une autre application que celle ayant servi à le créer.

Ne placez que des alias d'applications dans le dossier "Ouverture avec"

Différentes applications sont capables d'ouvrir les mêmes formats de fichiers. Une image au format GIF, par exemple, pourra être ouverte par AppleWorks (=ClarisWorks), QuickTime, votre navigateur, votre logiciel de création de site web, Photoshop, GraphicConverter, ColorIt, Painter... et j'en passe ! Chacune de ces applications peut ouvrir une telle image mais aucune de ces applications ne vous permettra d'en faire ensuite exactement le même usage ! Vous voulez intégrer cette image dans votre site internet, changer sa résolution, l'insérer dans une page de traitement de texte, simplement la regarder ?... Un logiciel se montrera plus qu'un autre capable de répondre à votre attente. D'où l'intérêt de pouvoir déclencher automatiquement l'ouverture d'un fichier avec un logiciel particulier, adapté à ce que vous voulez faire de ce fichier. Sans CMTools, vous serez condamné à devoir retrouver l'icône de l'application (ou de son alias) et à glisser dessus le fichier en question. A moins que vous ne préfériez lancer l'application et ouvrir le fichier en passant par l'article "Ouvrir" du menu "Fichier" de l'application... Quel temps perdu, surtout lorsque l'on sait que CMTools existe.

Mais les connaisseurs diront qu'il suffit d'ouvrir l'excellent tableau de bord d'Apple "Échange de fichiers", de sélectionner l'onglet "Conversion de Fichiers " puis de cocher les deux premières cases pour que , par la suite, et pour reprendre notre exemple, un double-clic sur un fichier GIF produise l'ouverture d'une zone de dialogue :

• affichant la liste de toutes nos applications capables d'ouvrir un fichier GIF
• nous proposant de choisir, parmi ces applications, celle avec laquelle nous voudrions ouvrir le fichier GIF en question.

D'accord, cette solution est aussi excellente mais seulement si vous ne possédez pas, sur votre disque dur, l'application ayant servi à créer le fichier ! Sinon, cette zone de dialogue n'apparaîtra pas à l'issue du double-clic sur le fichier puisque le Finder choisira automatiquement d'ouvrir ce dernier avec l'application en question.

Pourquoi ne pas imaginer que l'association d'une touche de fonction ("F1"; "F2" etc...) ou d'une combinaison de touches à un double-clic sur un fichier permette l'ouverture de cette zone de dialogue propre au tableau de bord "Échange de fichiers", cela même si l'application mère est présente. A Apple de juger de l'intérêt qu'aurait la chose...

4) et 5) Verrouiller *; Déverrouiller *

Utilité : verrouiller (ou déverrouiller...) un fichier depuis son menu contextuel afin d'éviter (ou pour permettre...) qu'il puisse être modifié par erreur ou jeté à la corbeille.

Remarque : il n'y a rien à ajouter dans ces dossier.

Vous ne voulez pas que quelqu'un puisse jeter malencontreusement à la corbeille un fichier que vous jugez important ? D'un clic prolongé sur ce document (si Finder Pop est installé!) il vous sera possible de le verrouiller (ou de le déverrouiller) en choisissant "Verrouiller" (ou "Déverrouiller") dans le menu contextuel apparu. Cette opération vous évitera de devoir ouvrir la fenêtre d'information sur le document (combinaison de touches POMME-i), d'y cocher la case "verrouiller" (ou de la décocher) puis de devoir encore refermer la fenêtre d'informations. Mais l'effet sera le même.

Supprimez , ou presque...

Vous avez pu remarquer que vous n'utilisiez jamais certaines polices de caractères installées sur votre iMac. Trop laides à l'impression, trop illisibles à l'écran, trop fantaisistes, trop sérieuses, trop spécialisées, plus moches que d'autres dans le même genre, un grand nombre de polices ne manquent pas de susciter chez nous des réflexions désagréables.

Alors pourquoi les laisser plus longtemps encombrer nos menus? Sans oublier que de nombreux logiciels doivent faire l'effort de toutes les charger en mémoire pour fonctionner... Faisons leur donc gagner du temps et de l'espace!

En dehors des polices classiques et vitales pour MacOS (conservez au moins les différents Arial, Charcoal, Chicago, Courrier, Geneva, Helvetica, Monaco, Times et, éventuellement, New York et Symbol ) n'hésitez pas à sortir du dossier "Polices" (situé dans le Dossier Système) tout ce qui ne vous plaît vraiment pas. Regroupez ces polices indésirables quelque part sur votre disque dur, compressez-les si vous voulez mais ne les jetez pas à la corbeille avant d'avoir eu l'occasion d'ouvrir toutes vos applications! En effet, certains logiciels particulièrement exigeants (heureusement, ils sont rares à l'être sur le point suivant) pourront vous faire remarquer qu'ils déplorent qu'une certaine police prévue dans leur fonctionnement (polices généralement installées avec ces logiciels) ne soit pas installée. Ils la nommeront, vous devriez ainsi pouvoir la retrouver facilement parmi les polices que vous aviez pu exclure et la réinstaller.

Il se peut aussi que vous ayez eu le mauvais goût de créer, dans le passé, certains documents en utilisant une police que vous ne pouvez maintenant plus voir en peinture. En admettant, par exemple, que vous ayez maintenant un besoin urgent d'imprimer une de ces horreurs... Dans ce cas, le logiciel dont vous vous étiez servi, ne retrouvant pas la police jadis utilisée (puisque vous l'aurez sortie du dossier "Polices"), la remplacera d'office par une autre. Votre mise en page sera alors plus ou moins altérée par cette substitution. Si le résultat vous déplaisait trop, il vous faudrait immédiatement quitter l'application sans avoir jamais sauvegardé et en ayant pris soin de refuser d'enregistrer les modifications du document (sinon toute la mise en page serait à revoir puisqu'un enregistrement reviendrait à accepter que la police de substitution devienne la police réellement utilisée dans ce document). Ensuite, seulement, vous pourrez réinstaller l'affreuse police indispensable à la mise en page de ce document.

Ajoutez !

De nombreux sites web vous permettront de visualiser et de télécharger gratuitement différentes sortes de polices. La page FreeFonts du site de John Finlay (disponible lorsque John Finlay veut bien la mettre en ligne...) vous ouvrira les portes certains de ces sites ainsi que celle de Microsoft.

Une fois sur ces sites, évitez de télécharger par erreur des polices pour PC. Les PC utilisent aussi des polices "TrueType" mais leur format diffère de celui des polices TrueType pour (i)Mac. Vous auriez le plus grand mal à les convertir pour les rendre utilisable. Même avec des utilitaires spécialisés tels que "TrueType Converter" (si vous vouliez vraiment essayer, vous trouveriez cet utilitaire en lançant une recherche sur le site Version Tracker.).

Une polices pour PC se reconnaît normalement à son nom : il se termine toujours par un suffixe : ".TTF" pour les polices TrueType, par exemple. Ainsi, un fichier "Times.TTF" sera la version PC de la police "Times" installée sur nos iMacs). En effet, Windows a besoin d'une telle information (celle donnée dans le suffixe) pour pouvoir indentifier une police lorsque Mac OS reconnaitra automatique une police quel que soit son nom (changez le nom de la police "Times" en "Times.gif" et vous verrez que Mac OS ne prendra jamais la police en question pour une image enregistrée au format GIF).

Cependant, de nombreux concepteurs de polices peu habitués à la plate-forme mac ne peuvent s'empêcher d'ajouter de tels suffixes aux nom des versions pour mac de leurs créations.

Et méfiez-vous encore : avant de les installer, tentez toujours de visualiser les polices bitmap ou TrueType téléchargées d'un double-clic sur leurs fichiers. Si vous ne parvenez pas à obtenir ainsi un échantillon de leurs caractères, jetez-les aussitôt à la corbeille : elles sont vraisemblablement endommagées... et une seule police endommagée peut créer bien des ennuis.

Pour en savoir plus sur les polices en général n'oubliez pas de jeter un œil à la rubrique "Découverte de MacOS".

mieux que le Module Remote Access d'Apple pour vos connexions via modem

Ce module est entièrement compatible Mac OS 8.5.x et 8.6. et, dans sa dernière version, compatible Mac OS 9. Il ajoute une fonction très utile dans la barre de réglages lors des connections Internet réalisées par modem : la visualisation du flux de données entrant et sortant (sélectionner "Activity lights" en cliquant sur ce module dans la barre de réglages) . Ainsi, si un serveur contacté est trop lent ou ne répond pas, la chose se voit immédiatement d'un simple coup d'œil sur la barre de réglages...

Bien évidemment, la vitesse de la connexion établie avec votre fournisseur d'accès et le temps de connexion seront aussi affichées en permanence dans votre barre de réglages.

Et si vous avez plusieurs fournisseurs d'accès (l'accès gratuit devenant monnaie courante...) ou si vous avez l'habitude de vous déplacer et de vous connecter sur différents numéros nationaux, vous avez nécessairement créé des configurations de connexion propres à chaque fournisseur d'accès ou à chaque région de connexion. Vous avez donc aussi dû donner un nom particulier à chacune de ces configurations. Un clic sur le module OT/PPP Strip, dans la barre de réglages, vous permettra de voir ces noms apparaître. Sélectionner un de ces noms déterminera immédiatement le fournisseur d'accès sur lequel votre prochaine connexion s'établira.

Pour télécharger OT/PPP Strip....